Je suis de retour pour te jouer un mauvais tour... [PV Azou]

par Invité Mer 23 Mar - 19:53

Je suis de retour pour te jouer un mauvais tour...

« Grand-mère, je vais livrer les médicaments, je reviens après. » Je souris, je vais le faire, il commence à faire nuit, je la vois mal aller déposer des médicaments par une nuit pareille. Je prends alors mon sac en bandoulière, je mets le sachet de médicaments dedans. Je me demande bien si je vais trouver ou pas l’adresse du lieu. J’ai le plan en tête, je vais bien trouver le moyen de m’orienter afin de trouver ce lieu. La nuit, cela ne me dérange pas du tout, j’ai la vision des loups qui me permet de bien voir. Je reprends donc mon chemin à pied, par le bus. C’est le trajet que j’ai vu sur la carte de la ville. Seulement, je ne vois pas comment faire pour réussir à faire les choses. Je réfléchis, je trouve l’arrêt de bus. Je sais que je ne vais pas faire de mauvaises rencontres. Enfin, je le pense.

Je ne connais pas trop bien la ville, je me dis que tout va bien se passer. Je suis dans le bus, je regarde le chemin pour ne pas louper mon arrêt. Cela fait la deuxième fois que j’y vais. Je préfère ne pas m’occuper afin de ne pas me perdre en chemin. Je regarde autour de moi, heureusement, que je peux lire les arrêts qui vont venir. Je descends au bon endroit. Des amérindiens vivent ici, je ne le savais pas jusqu’à ce qu’ils passent à la boutique. Je trouve la maison, je donne les médicaments, je prends la monnaie. Je vois que la nuit et belle et bien tombée. Je souris intérieurement, il s’agit du meilleur moment de la journée pour moi.

Je me dirige vers l’arrêt du bus. Les ruelles sont étroites, mais je n’ai pas peur. Seulement, j’ai comme un mauvais pressentiment. Je ne sais pas trop quoi, mais j’ai comme l’impression que l’on me suit. Je fais comme si de rien n’était, mais, je me demande bien qui peut me suivre… Je continue de marcher, il y a peu de réverbères d’allumer. Je me dis que la nuit ne va pas être si tranquille que cela…

© Kimiko

par Invité Mer 23 Mar - 21:36

La nuit était son terrain de jeu, de chasse. Il avait l'impression de posséder la ville entière, de la contrôler à sa guise. Il était à l'affut de la moindre nouvelle, des trafics qui circulaient en cette période. Accompagné de ses deux bras droits, il longeait la rue, les menant jusqu'à un entrepot où ils allaient donner les directions. Des hommes les attendaient déjà, les laissèrent prendre place. Le chef de la bande, prit de suite la parole, résuma la situation actuelle. Il parlait du commerce, de la vente de drogues, femmes voir des armes illégales. Le bilan était mitigé, Azarel pesta ouvertement sur la lenteur des opérations engueula trois de ses sbires par la même occasion. Il les renvoya à leurs taches initiales, resta juste avec John. John était la personne en qui il avait le plus confiance dont les compétences lui étaient très utiles. Les deux hommes firent un bref état des lieux, sortirent du bâtiment sans un mot de plus. Au croisement d'une ruelle, ils se séparaient, chacun allait dans une direction bien précise.

Un malicieux sourire illumina le visage du demi démon, signe d’une nouvelle idée dans son esprit vif. Il allait pouvoir mettre l'un de ses plans a exécution, s’y hâta avec joie. Il traversa la rue, la moitié du quartier quand il vit au loin une autre personne. Poussé par sa curiosité, il s’en approcha, y découvrit une jeune femme qui était semblé transporter quelque chose dans son sac. celui-ci lui semblait bien rempli, bien gros et d’étranges pensés lui vinrent en tête. Il n’hésita pas une seconde à s’avancer vers elle d’un pas ferme, décidé, les deux bras le long du corps. A sa hauteur, distancé d’un ou deux pas, il émit un petit son, lui fit un étrange signe de la tête qui en disait déjà long sur ses pensées, sur le ton de la conversation à venir.
Autrement dit peu amicale voir agressive en fonction de ses réponses.
« Hé toi, t’es qui et qu est ce que tu as dans le sac ? »

A cette heure ci et dans cette zone, il se méfiait toujours des allers venus. Il cru avoir affaire à l’un des membres d’un clan extérieur du sien, chose qui ne passerait pas. Il avait voulu en avoir le cœur net.

« Réponds ! »

Il avait haussé la voix, ravala sa salive tout en plongeant son regard dans celui de son interlocutrice. Azarel n’avait pas dépasser les frontières de son quartier, il était en règle de faire de l’introspection sur les passants qui lui semblaient louches.

par Invité Jeu 24 Mar - 12:26

Je suis de retour pour te jouer un mauvais tour...

« Hé toi ?! Pourquoi est-ce que je devrais te répondre, tu es de la police ? » Je n’ai pas bien longtemps avant de donner ses médicaments, je dois dire que j’ai hâte de voir Lacius pour qu’il vienne les prendre. Je ne suis pas bien loin de sa maison. D’ailleurs avec le vent qui arrive dans mes narines, il va vite sentir mon odeur sur le pas de sa porte. Je me retourne et je continue mon chemin pour aller livrer tout ça. Je sais que le type va me suivre, mais bon, je travers la rue, je n’ai pas besoin de frapper à la porte. Je vois mon congénère loup qui m’attend. Je marche rapidement, je finis par arriver à voir Lacius. Je lui dis : « Tiens tes médicaments pour ton père. Tu fais bien comme tu lis sur la feuille. Son loup se calmera doucement, mais il serait mieux s’il venait faire une visite. On est chaman, cela devrait bien se passer. » Je lui donne le sachet en papier, je sens que Lacius regarde derrière moi. Il observe l’individu nous observe. J’écoute mon ami : « Méfies toi de lui, il n’est pas net… » Je me tourne pour regarder l’inconnu du pas de la porte. Je dis à mon ami : « Je vais voir ton père, reste là. » Je prends les médicaments et je rentre dans la maison.

Le salon est en pagaille, je vois un loup gris aux yeux verts qui se bagarre avec les coussins. Je lui dis en navajos : « Tim, tout va bien, c’est Tala. Calmes-toi. » Je prépare mes médicaments, je sais qu’il va y avoir du sport. Je calme la bête après avoir fait du boucan. Je dis à Lacius : « Tout va bien ! » Je sens que mon ami reste sur le pas de la porte. Je finis par me battre avec le loup, je lui fais avaler les médicaments de force pour qu’il se calme. Je range le salon, je pause le loup sur le canapé et je le couvre d’un drap. Tim va se changer en humain, il ne faudrait pas qu’il est froid. Je sors de la maison, je m’assois sur les escaliers devant la porte. Je vois mon ami. Il rit : « Mon père a encore de la vigueur… » Je ris, je sais que cela va être amusant, enfin, je me lève après avoir regardé l’heure. « Bon, allez, va voir ton père, je vais rentrer chez moi. » Lacius me regarde, il va chercher l’argent, puis il me demande : « Tu ne veux pas que je te raccompagne jusqu’au bus ? » Je me lève, je lui dis : « Il ne me fait pas peur. Puis s’il me gonfle, je hurlerais pour te prévenir. » Un sourire en coin, il me fait une tape dans le dos avant de me donner son numéro de téléphone pour appeler au cas où.

Je reprends mon chemin, je me doute que je vais recroiser l’inconnu sur ma route. En tous les cas, mon sac est vide maintenant. Je souris, j’ai pour une fois, l’impression que je vais devoir me battre pour avoir accès à ma tranquillité. Je regarde mon trajet, je vais bien retrouver l’arrêt de bus.

© Kimiko

par Invité Jeu 24 Mar - 12:52

Une remarque, un détournement et une rencontre ? Ca avait été trop vite pour lui, il n'avait quasiment rien vu passer. Il se retrouvait comme un rond de flan sur le trottoir, sans aucune possibilité d'intervenir. Il le prit très mal, c'était une évidence. Il fulmina intérieurement, pesta dans sa barbe. Curieux de cette rencontre, il décida d'aller les espionner sans se faire voir. Il avait fait mine de continuer sa route, s'était caler dans un contre fort. Il avait une bonne visibilité, pouvait en plus les entendre aisément. Il se pencha un peu sur le coté, appuya sa jambe contre un petit muret afin d'éviter la chute. Ses yeux de feu, quant à eux, ne cessèrent de fixer la scène non loin de lui. Son ouïe était en éveille, il ne perdit une miette de la conversation. Il en apprit de belles sur son ancienne interlocutrice, elle pouvait lui être utile. Hormis le début qui lui était complètement égal, apporter des médicaments n'avait rien d'extraordinaire, il fut attiré par cette histoire de loup. Etait ce une métaphore ou en était elle vraiment un ? Cette question lui trotta dans son esprit, il s'y pencha un long moment. Par la même occasion, il prit soin d'analyser son caractère, de la calculer. Elle semblait avoir un fort caractère, ce qui était un bon point suplémentaire. Il attendit la fin de cette rencontre, eut le temps d’élaborer un nouveau plan d’approche, et se glissa derrière elle une fois où elle se retrouva vraiment toute seule.

« Rebonsoir. Je voulais vous présenter mes excuses pour tout à l’heure »

Il avait changé le ton de sa voix, son attitude. Il se montrait plus amicale voir mielleux à souhait. C’était une ruse, une feinte pour en apprendre d’avantage sur elle. Le demi démon se remit quelques mèches derrière les oreilles, lui fit un petit geste de la main et reprit la parole en gardant cet objectif en tête.

« .. Disons que les lieux ne sont pas sure ici et je voulais m’assurer de … que vous n’êtes pas une mauvaise personne.. j’ai eut raison.. »

Il avait un double sens dans sa phrase, c’était à elle de le comprendre. Enfin dans le fond, l’homme aux cheveux de jais lui disait la vérité. Même s’il faisait parti d’une mauvaise bande, il s’était juste rassuré de la protection de son territoire. A présent, il pouvait enchaîner sur un point plus délicat qui attirer pourtant toute son intention.

« Euh.. Quand je suis parti, j’avoue que j’ai entendu plusieurs fois le mot loup.. vous aimez cet animal ? j’ai entendu entendu plusieurs rumeurs à leur sujet.. des légendes.. »

Il était rentré dans un jeu dangereux, il en avait conscience..

par Invité Ven 25 Mar - 10:42

Je suis de retour pour te jouer un mauvais tour...

Sur le trottoir, je marche tranquillement jusqu’à ce que l’individu vienne à mon encontre. Je ne sais pas trop quoi dire, mais je sens bien que tout cela va sans doute ne pas trop me plaire. Mon instinct de loup me dit que cet homme par son odeur de mort n’est pas vraiment une bonne personne. Puis Lacius lui avait confirmé la chose. Il fallait donc que je me méfie pour ne pas tomber dans son piège. Je l’écoute bien que j’ai pour le moment, mon intuition qui va sans doute se mettre en action. Je réfléchis un petit instant avant de lui donner ma toute première réponse. « Bonsoir. Je sais me défendre. C’est gentil d’avoir essayé de savoir qui vient dans votre quartier. Mais, si vous préférez, mettez une douane à l’entrée de la rue. » Je souris, sachant que je vais sans doute me méfier comme d’habitude.

Les gangs dans les rues ne sont pas parfois trop présents dans les rues. Il y a avant toute chose, des choses que l’on ne peut pas accepter… Ces gangs sont avant toute chose la maladie du quartier qui a bien évidemment à la fois du mal à en guérir parce que tout simplement que le quartier veut absolument avoir une protection. C’est comme une drogue, le gang est à la fois le mal mais aussi le bien en donnant un peu de bonheur. Il faut bien sûr se dire qu’à un moment donné, cela ne se fera plus, que cela va disparaître au profit d’une paix plus calme. Je ne dis rien, j’écoute tout simplement ce qu’il a dire. Il est bien sûr de lui. Il ne doit sans doute pas penser que je ne vais pas me laisser faire. Je lui dis :

« Ce n’est pas correct d’écouter aux portes. » Je reste calme, je sais que je peux mentir et trouver des choses à dire. Je dis en riant : « Ce sont des légendes amérindiennes, des totems que l’on donnent aux gens de notre peuple. C’est un animal de protection si vous préférez. » Mes mains dans mes poches, je me contrôle tout en ayant la sensation que mon loup veut en découdre avec lui et le ratatiner en pièce… Je peux résister à la magie, le fait que je sois chaman m’aide grandement, je peux voir une sorcière venir ou un vampire. Mais cet homme ne face pue la mort… Il va falloir que je trouve de quoi il s’agit afin de chercher le pourquoi du comment…

© Kimiko

par Invité Ven 25 Mar - 21:41

L'envie de lui clouer le bec, de lui lancer une belle réplique bien cinglante le démangeait. Il était habitué aux joutes verbales, possédait une assez bonne répartie. Il aurait eut gain de cause, le dernier mot or il ne se donna guère ce petit plaisir. Elle le prendrait mal, cela se finirait en une dispute, très loin de l'objectif du demi démon. En effet, il cherchait plutôt de l'amadouer, d’obtenir sa sympathie. Il se contenta juste d'un rictus, d'un haussement d'épaules avec un petit air désabusé. Ainsi, il la laissa dans le doute le plus total, son interlocutrice pourrait l’interpréter de deux façons. Soit il n'avait envie de rentrer dans ce jeu la ou soit il se moquait gentiment d'elle. L'homme aux cheveux de jais laissa volontairement un blanc dans la conversation, profita de cette occasion pour se laisser bercer par la nuit. Il faisait bon ce soir la, seul un petit vent vint caresser sa peau de temps en temps. Le ciel était dégagé, les étoiles étaient visibles. Il y laissa trainer son regard, tenta de deviner deux ou trois constellations. Machinalement, il remit ses mains dans ses poches, prit un certain air de doux rêveur, de romantique. Un sifflement mélodieux se fit entendre, sortit de sa bouche. Une musique assez connue, écoutée en cette période trottait dans son esprit.

« Ah.. Navré… j’étais perdu dans mes pensées. »

Azarel remit quelques mèches de cheveux derrière ses oreilles, pivota son corps de façon à se retrouver en face de la jeune femme. Une comédie, sa conscience le savait, s’en amusait aussi. Pourtant, un point de vue extérieur aurait des difficultés à le deviner, à entrevoir la supercherie. Il se remémora en vitesse les derniers propos de son interlocutrice, fit mine d’en être surpris. Il s’y attendait plus ou moins à ce genre de réponse, à n’avoir la vérité au premier claquement de doigts. Il pouvait rêver, elle n’était dupe à ce point la, prête à lui faire confiance. C’était à lui de faire ses preuves.

« Il commence a faire froid ici… je peux vous offrir un verre pour me faire pardonner ? »

Ils sauraient mieux pour discuter et l’homme aux cheveux de jais n’aurait pas à subir plus longtemps ces courants d’air frais. Normal, il avait juste sa fine veste sur lui alors que les températures baissaient au fil de la soirée. Il avait également fait cette proposition dans l’objectif de prouver sa bonne foie, un coté ‘’bienveillant’’

par Invité Mer 30 Mar - 12:39

Je suis de retour pour te jouer un mauvais tour...

« Je ne vois pas en quoi c’est drôle toute cette histoire. » Je sens le vent, je ne vois pas quoi dire, je préfère ne pas trop m’avancer, mais bon, je doute gentiment que cela ne soit une bonne chose. Je ne sais pas, mais je sens qu’il y a des petites choses qui ne vont pas vraiment bien se passer… Je m’aperçois que finalement, tout va aller dans le mauvais sens. De plus, je m’interroge parfois sur la question. Je tente de ne pas me précipiter, mais pour le moment, je vais rester sur mes positions. Je ne sais pas quoi dire, je souris, je ne vois pas quoi dire, mais je doute fortement d’être tombé dans un traquenard. Je me tourne vers l’individu ; je lui dis : « Il y a un bar dans le quartier ? » Je suis surprise, je ne me souviens pas en avoir vu un sur la carte de la ville. Je reste sur place. Je ne connais pas encore tout à fait cette ville. Je me dis qu’avec le temps, je vais bien finir par savoir comment se situe cette douce ville.

Maintenant, je sais que cela va être une bonne chose. De plus, je tente de voir les choses sous le bon sens. Je trouve que pour l’instant, j’ai une personne qui tente de m’amadouer, tente de me gêner, de me dire des choses en me mentant, bien entendu, cette personne essaye aussi de me prendre des informations qui bien entendu ne les regarde pas. Ainsi, je me rends compte que pour une fois, je préfère attendre que la situation change un peu. Avec la sensation que je ne vais pas passer une bonne soirée. Je reste encore plus sur mes positions afin de ne pas me faire avoir. Je sais que cela va changer. En tous les cas, je garde mon instinct de loup.

© Kimiko

par Invité Mer 30 Mar - 18:00

Si elle savait le fond de sa pensée, il risquerait de passer un très mauvais quart heure. Des idées sournoises, malsaines trottaient en son esprit, il était loin d'être un ange après tout. Ce ricanement, cette petite moquerie n'était innocente, symbolisait le ridicule de la jeune femme à vouloir rentrer dans ce petit jeu. Enfin, une joute verbale en début de soirée ne lui aurait déplut. Le demi démon adorait ca, il se s'en cachait guère, les provoquait parfois par amusement. Vicieux, il se serait pris un malin plaisir de surenchérir, de rebondir la dessus afin d'obtenir la victoire, d'avoir gain de cause. Néanmoins c'était loin d'être dans son objectif, il dû s'abstenir. Le froid avait surgit de nul part, surpris l'homme aux cheveux de jais. Ce dernier ne s'y était préparé, commençait à avoir à avoir froid malgré sa veste en cuire. Il s'en frotta même les bras, les avants bras d'une façon énergétique. Une seule idée lui vint à l’esprit, se remuait, bouger et se caler dans un lieu dans le but de se réchauffer sans ou avec son interlocutrice. Avec ça saurait mieux, il attendit sa réponse. Elle se fit attendre, désiré. Elle était dans la confusion, dans l’hésitation de lui faire confiance ou non. Normal, ils étaient partis sur de mauvaises bases. Les muscles d’azarel continuaient à se ramollir, à s’endormir. Même ses yeux se firent de plus en plus petits, signe d’une grande fatigue anormale. Il était en pleine forme, loin de ses heures de repos.

« Dans ce cas-la, suivez moi »

Un petit sourire charmeur au coin des lèvres, un signe de la main, il l’incita à le suivre. A l’inverse de son interlocutrice, il connaissait la zone comme sa poche. Il n’eut aucun mal à s’orienter à travers les rues, les pavés. Ses yeux roulaient à l’instant où il vit son bar préféré bondé de monde. Avec ça, le bordel allait etre assuré, songeait l’homme aux cheveux de jais avec une certaine amertume sur ses prunelles. Il tourna sa tête de droite à gauche, enfonça ses mains dans les poches d’un air bougon. Il jeta un bref coup d’œil sur la jeune femme, fit quelques pas devant l’entrée.

« Ce que vous allez voir peut être déroutant »

Il valait mieux la prévenir, la mettre sur ses gardes. C’était un endroit spécial ici, les hommes ne se gênaient à relooker les belles femmes voir à vouloir les posséder le restant de la soirée. Dans le but de lui éviter cela, l’homme aux cheveux de jais se colla à ‘’sa partenaire’’, lança de très mauvais regards sur deux types.

« A toi l’honneur »

Fit il une fois où ils s’étaient installés au comptoir.

par Invité Sam 2 Avr - 14:16

Je suis de retour pour te jouer un mauvais tour...

Je regarde un peu plus l’individu. Je me demande bien ce que je peux faire par la suite. Je trouve qu’il est bien aussi que je sache comment arranger. Je réalise que cela peut être une bonne chose que je sache où est-ce que je vais mettre les pieds. Mais bon, je tente de voir les choses sous le bon sens. Il y a bien entendu, des gens mauvais. Il faut bien entendu s’en méfier, mais il faut parfois aussi essayer de ne pas avoir d’ennuis. Je ne sais pas trop où est-ce qu’il m’emmène, mais bon, je lui dis : « Et bien voyons voir. » Je tente de ne pas trop paniquer, mais bon, je me dis que finalement, je ne peux pas fuir, après tout, je peux essayer de connaître les gens de ce bar.

Je le vois venir me voir et se coller à moi. Je résiste un peu à la magie, mais là, je sens qu’il y en a beaucoup. Je remets mon amulette sous mon haut pour que l’on ne la voie pas mais qu’elle puisse être efficace aussi pour me protéger. Je souris, je peux voir que l’ambiance n’est pas désagréable. Qu’il y a un tas de monde. Je trouve que pour l’instant, il est pas mal aussi que je tente de voir les choses. Des gens sont là assis aux tables. Je souris, j’ai comme l’impression qu’il y a des créatures magiques qui sont là. Je sens avec mon nez de loup que cette soirée va être assez intéressante finalement. Je m’aperçois que pour le moment, je vais devoir aussi rester un peu plus sur mes gardes…

© Kimiko

par Invité Mer 6 Avr - 16:50

Une petite description du bar s'imposait, cet endroit était si particulier après tout. Il avait un style grunge, sombre dont quelques lumières rouges par ci par la. Accrochés au mur, chaque tableau avait une signification bien précise. Ils représentaient les pêchés capitaux dans un style soit baroque ou soit médiéval. La musique, quant à elle, était à présent électrique, assez forte. Parfois, on avait du mal à s'entendre parler. Une ambiance spéciale, sortant de la norme or elle convenait à merveille au démi démon. Il venait souvent ici, y avait quelques connaissances. D'ailleurs à l'entrée du bar, il avait jeter deux ou trois coup d'oeil sur ces dernières. Seul, il n'aurait pas hésité à se rapprocher d'eux, à se lancer dans une conversation. Là, il était accompagné d’une jeune femme, dont il avait quelques projets pour elle. Mise à part sa beauté qui pourrait être très avantageux, il y avait en elle quelque chose d’original. Elle semblait caché un secret, lequel ? Pour l’heure, il en avait aucune idée, comptait cependant y mettre le doigt dessus. Actuellement, ils se trouvaient au comptoir où l’homme aux cheveux de Jais attendait la commande de la demoiselle. Elle se faisait attendre, désirée, ne donna aucune indication. Elle restait muette comme une tombe à son grand étonnement. Plus le temps passait et plus il doutait sur la compréhension de sa galanterie.

« Je prendrais un Gin tonic. »

Tant pis pour elle, Azarel n’allait attendre milles ans. Il avait pris les devants, parla un court instant avec le barman. Il le connaissait, s’entendait bien avec. Il prit congé de lui avec un petit signe de la tête, un clin d’œil qui en disait long sur ses intentions. Il emmena la jeune femme à une table reculée du monde, eut la délicatesse de lui avancer la chaise.

« A présent bien installé, je voudrais vous parler de quelque chose.. »

Il y avait mis le ton sur cette réplique, il y avait une sorte de mise en garde. C’était voulu, il avait bien sentit un coté animal très prononcé en elle. La pause dans ses dits avait pour but de la laisser réfléchir, de lui donner un avant gout de ce qui préparer.

« Tu es… Pas pratiquement humaine n’est ce pas ? »

Ses yeux s’étaient plongés dans les siens, les coudes sur la table avec les doigts croisés entre eux, signe d’un grand sérieux de sa part.

par Invité Mer 13 Avr - 18:52

Je suis de retour pour te jouer un mauvais tour...

Le bar ne me dit rien qui vaille, je me demande bien pourquoi est-ce que je suis venue ici, mais bon, je me dis que je ne peux pas me défiler. Puis, il faut bien connaître son ennemi afin de le vaincre. J’observe patiemment ce que font les personnes. Je trouve que pour une fois, il est bien drôle de voir comment est-ce que font les gens pour essayer de vous embobiner. Je regarde autour de moi, je vois que l’on attend ma commande, je dis : « Une limonade s’il vous plait. » Ne sachant pas quel danger, je vais devoir me méfier, je préfère rester sur mes gardes. Après tout, mon instinct de loup m’ordonne de ne pas me laisser aller.

Au ton de l’homme, je me dis que cela ne va pas être drôle du tout, mais bon, je peux voir qu’il va essayer de me manipuler. Je ne suis pas née de la dernière pluie, en général, je ne me fais pas avoir, et je ne compte pas le laisser faire maintenant. Je l’écoute, je vois mon soda qui arrive, je bois une gorgée, je dis : « Comme toute les personnes se trouvant dans cette pièce ou presque. » Je souris, je ne vais pas dire d’où je viens, cette odeur de soufre est caractéristique des démons… Cela pue ! J’ai mis mes deux pieds dans un repère de démons… Parfois, j’ai vraiment un grain… !

Je regarde droit devant moi, je sens bien que tout le monde écoute notre conversation. Je vais donc mettre à profit cette situation afin de m’en dépêtrer. Je me tourne vers l’homme, et j’attends patiemment sa réponse. Je sais que je vais sans doute devoir montrer les crocs…

© Kimiko

par Invité Jeu 14 Avr - 11:11

L'homme aux cheveux de jais ne pu s'empêcher d'afficher un petit rictus sur ses lèvres, de pousser un petit rire. Une réaction moqueuse découla ainsi à l'entente de la commande de sa compagne du soir. La petite joueuse, elle avait juste pris une limonade, elle allait aller loin avec ça. Une petite déception traversa ses prunelles sombres, soit c’était une sainte nitouche ou soit elle avait une idée derrière la tête. Le demi démon garda ces deux théories dans un coin dans son esprit, se jura d’y prêter attention, savait on jamais.. Il ne faudrait guère se prendre dans son propre jeu, ça saurait regrettable. En cet instant, les deux protagonistes étaient installés à une table au fond de la pièce, assez reculée du reste de la clientèle. Les murs avaient des oreilles, ici il n’était pas aisé d’entrée vraiment dans les sujets intimes. Enfin le cœur sombre était assez confiant à ce niveau là, il avait pas mal de connaissances ici sur qui il pourrait compter au cas ou ça tournerait à l’orage. Il prit deux ou trois gorgées de sa boisson, reposa le verre sur la table où il s’amusait à faire le tour du rebord avec son index.

« Ah vous trouvez ? »

Sa réponse était surprenante, erronée au passage, lui provoqua un haussement de sourcils. Ou avait elle cherchait cela ? Aucune idée, sans doute le décor qui lui avait donné ce pressentiment. A deux doigts de lui dire la vérité, le nombre réel de démons dans la salle autrement dit qu’une petite poignée, il se retint avec une mauvaise pensée en tête. C’était une bonne chose au final, elle serait moins tenter par des coups fumés. Azarel avait gagné un avantage non négligeable, il allait pouvoir en profiter, l’utiliser à ses profils personnels.

« On a tous nos spécialités et je suppose que vous aussi ? »

Il voulait en savoir d’avantage sur elle, cela se voyait gros comme une maison, comme le nez au milieu d’une figure. Cependant, ce sujet était très délicat à aborder, il en était conscient, avait même l’impression de marcher sur des œufs. Toutefois, il ne perdit espoir, mit toutes les chances de son coté. Autrement dit, il se montrait chaleureux, amical au possible dans sa voix, dans ses mouvements et dans son aura. Il fallait à tout prix réussir à gagner sa confiance.

par Invité Mar 19 Avr - 12:01

Je suis de retour pour te jouer un mauvais tour...

« Oui, cela sent mauvais le souffre… » Pas besoin de dire que le souffre représente les démons, et que je ne suis pas dupe. Je me doute que mon odorat de loup ne se plante pas. Je me demande juste où est-ce qu’il y a les autres. En tous les cas, j’en ai déjà à côté de moi, je me dis qu’il va essayer de m’entourloupé, sauf que je ne suis pas née de la dernière pluie. Ne pas faire de pacte avec un démon… C’est la première chose qu’un chaman apprend. Je préfère rester donc sur mes gardes pour la simple et bonne raison que je ne tiens pas à brûler en enfer. Je souris à sa question, je dis en riant : « Nous sommes tous uniques. » Je sais que cela ne va pas forcément lui plaire. Mais, je ne compte pas me laisser faire. Je bois doucement de mon soda. Je préfère voir les choses sous en ensemble bien précis. Je ne vais pas me laisser aller. Je note dans un coin de ma tête à éviter ce genre de lieu. Il ne faut pas que j’envoie mes camarades loups dans ce lieu.

Je regarde le lieu, je me dis que finalement, les humains sont fous d’aller fricoter avec des démons. Je pose mon verre, je dis : « Il a vraiment des gens fous. » Je souris, je sais que cela ne peut pas forcément se faire, mais je croise le regard de l’humain. Je l’ignore à un moment donné, il doit s’imaginer des trucs. Je me tourne vers l’humain : « Tous les hommes de cette pièce pensent que les femmes sont des objets ? » Je vois bien qu’il a une question à me poser. Je reste un moment comme ça à attendre sa réponse…. Puis me rasseyant, j’observe la scène. Je réfléchis et je lui demande carrément : « Bon, on va aller droit au but : qu’est-ce que vous me voulez ? »

© Kimiko

par Invité Sam 23 Avr - 17:28

A première vu, l’interlocutrice de l’homme aux cheveux de jais était têtue, bornée. Elle restait sur sa position, croyait encore d’être uniquement entourée d’être démoniaque. Elle était loin de la réalité, il était bien placé pour le savoir, lui qui venait souvent ici. Néanmoins, il décida d’abandonner l’affaire, de la laisser dans sa croyance. Inutile d’insister s’était il dit avec un petit hochement d’épaule, suivit d’un long soupire. Au fond, il s’en fichait comme de l’an quarante de son avis, était plutôt intéressé par autre chose. Il voulait percer son secret, avait d’ailleurs fait une petite tentative qui se solda en un échec. Elle émit un rire moqueur, lança une phrase bateau. Si elle avait songé à l’intimidé, à être supérieur à lui, elle se mettait le doigt dans l’œil. L’homme aux cheveux de jais se frotta le haut du crâne, eut un air blasé voir lassé. Il avait tellement entendu ce genre de phrase qu’il en était blasé. Il ne prit la peine de répondre à cette réflexion, ça serait de rentrer dans sin petit jeu et jamais il ne lui laisserait ce plaisir. Il se contenta juste d’un petit son sortant du fond de sa gorge, d’un petit rictus au coin des lèvres.

« Comment définir la folie ? »

Le demi démon commença à regretter son choix, son invité lui semblait étriqué d’esprit A savoir s’il voyait juste ou non, il avait décidé de la tester pour s’en faire une idée fixe. En tout cas, sa deuxième question était du même niveau, il était sur le point de s’étouffer de rire avec sa boisson alcoolisé. Il se retint de justesse, avala en vitesse le liquide et reprit une grande inspiration.

« Vous en avez d’autres des comme ça ? »

Lui aussi était franc et ne passaient guère par les 4 chemins pour lui avouer le niveau pitoyable dans lequel ils étaient tombés. Par chance, elle releva le niveau en lui demandant enfin son but précis. A cet instant, Azarel se redressa sur sa chaise, mit ses deux mains sur la table dont les doigts se croisaient entre eux.

« Vous n’êtes pas la seule à sentir des choses.. Quelle est votre particularité ? »

L’homme aux cheveux de jais avait baissé le ton de sa voix à la deuxième partie de sa phrase histoire de ne pas attirer de mauvais esprits. Les murs avaient des oreilles, les lieux publiques n’étaient l’idéal pour ce genre de conversation, il fallait l’avouer.

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