Une visite inattendue de si bon matin | Alec
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Une visite inattendue de si bon matin | Alec
Une visite inattendue de si bon matin
Lydia & Alec
Comment j’avais pu accepter sa demande en mariage ? Je me souviens, enfin je m’imagine l’expression que j’avais dû avoir, quand il s’est agenouillé en faisant sa demande en mariage. Comme si écouter son cœur voulait dire que le mariage était ce qui comptait le plus. Tout simplement faux, mais j’étais prête à faire ce genre de sacrifice, à me marier si c’était pour pouvoir restaurer mon nom et le sien. Pouvoir prendre en charge l’institut, tout comme il le souhaitait aussi. Ce n’était pas une question de cœur et ça m’arrangeait. C’était un simple arrangement et je ferai en sorte que ça demeure comme tel. Mon cœur ne pouvait pas aimer un autre homme et je ne voulais pas m’investir avec quelqu’un émotionnellement. J’étais une jeune femme dure, certainement, mais j’étais comme ça et je n’avais pas l’intention de changer. Je serai toujours ainsi et ça jusqu’à mon dernier souffle.
Cette chambre n’a rien d’un foyer pour moi, je ne ressens pas ce que je peux éprouver quand je me trouve à Lisbonne. Je n’arrive pas encore à me sentir à ma place et peut être que dans le fond, je n’aurai jamais le sentiment de l’être. Chez moi. Je ferai avec, parce que j’avais la facilité pour m’adapter à tout type de situation. Tout en prenant une douche, c’était le bon moment pour me relaxer et ça m’avait détendue un peu, tout en enfilant des vêtements simples pour me sentir à l’aise. Un simple jean noir et un t-shirt gris, tout en restant pied nu pour le moment. Sentant le froid se glisser sur mes épaules, j’enfilais mon pull léger en coton gris. J’étais du genre à aimer sentir la fraîcheur ou la tiédeur du sol sous mes pieds. Un sentiment d’encrage qui me plaisait et qui me permettait, de garder en quelque sorte les pieds sur terre et sur le droit chemin. Essuyant mes cheveux longs, tout en les laissant libre pour le moment. Je gardais mon élastique noir autour de mon poignet, comme toujours. Tout en m’allongeant sur le lit sans la moindre délicatesse, sur le ventre. Tout en me penchant vers la commande pour prendra la chaîne en argent, où la bague de mon fiancé demeurait depuis de nombreuses années maintenant. A chaque fois je la cachais des autres, mais quand je me retrouvais seule je la mettais autour de mon cou. Comme j’étais en train de le faire maintenant. Un rituel. Un geste sacré pour moi. Caressant du bout de mes doigts l’alliance, avant d’y déposer un faible baiser. Mon livre se trouvait sous mon coussin et j’étais prête à reprendre la lecture là, où je m’étais arrêtée. Fronçant un peu les sourcils, retenant un soupire qui voulait sortir de ma bouche. Laissant mon livre entrouvert sur le lit, tout en me dirigeant vers la porte, tournant la clé pour l'ouvrir, sans grand enthousiasme je dois dire.
Qu’est-ce que tu faisais là, devant ma porte aussi tôt le matin ? Je ne savais pas le but de ta visite. Je savais que j’allais devoir te laisser entrer, même si j’aurai voulu rester seule et que tu ne viennes pas dans mon intimité, aussi tôt le matin. Jamais, même. –« Qu’est-ce que tu veux ? Pourquoi es-tu là ? »-. Légèrement méfiante, mais tu dois sans doute comprendre au son de ma voix, que je ne te t’accueille pas à bras ouvert. Je ne suis pas une femme qui fait entrer des hommes dans son intimité, dans sa vie comme si c’était une chose normale, même si c’était courant à notre époque. Je n’avais jamais été comme ça et je ne le serai jamais, aussi libre que certaine femme quand ça concerne ce genre de « chose ». Dans ma tête je m’étais toujours dite que ça demeurerai ainsi, jusqu’à mon dernier souffle. Pourtant, je savais que je n’allais pas pouvoir respecter ce que je faisais depuis de nombreuses années, ça allait être difficile aussi bien pour toi que pour moi. J’en étais bien consciente. Tout en refermant la porte à clé, une fois que tu es entré, je retourne m’asseoir sur mon lit, je reprends mon livre et je suis sur le point de lire un tout nouveau chapitre, qui promet d’être fort intéressant. Le simple fait de te voir debout me dérange. –« Au lieu de rester planté là, assit toi mais ne reste pas debout ... d'accord. »-. Soupirant légèrement, je ne suis pas vraiment une personne sociable et qui m’est à l’aise les autres. Rien que de savoir que j'allais devoir parler de mariage, l'organisation, la robe tout ça. Ce genre de chose ce n'était plus pour moi, mais je savais que j'allais devoir prendre sur moi. Pour nous deux. Pour que nous puissions reprendre en charge l'institut. Tout en te fixant, sans vraiment être concentré sur toi, parce que je pensais sans doute à des choses inutiles et futiles.
Cette chambre n’a rien d’un foyer pour moi, je ne ressens pas ce que je peux éprouver quand je me trouve à Lisbonne. Je n’arrive pas encore à me sentir à ma place et peut être que dans le fond, je n’aurai jamais le sentiment de l’être. Chez moi. Je ferai avec, parce que j’avais la facilité pour m’adapter à tout type de situation. Tout en prenant une douche, c’était le bon moment pour me relaxer et ça m’avait détendue un peu, tout en enfilant des vêtements simples pour me sentir à l’aise. Un simple jean noir et un t-shirt gris, tout en restant pied nu pour le moment. Sentant le froid se glisser sur mes épaules, j’enfilais mon pull léger en coton gris. J’étais du genre à aimer sentir la fraîcheur ou la tiédeur du sol sous mes pieds. Un sentiment d’encrage qui me plaisait et qui me permettait, de garder en quelque sorte les pieds sur terre et sur le droit chemin. Essuyant mes cheveux longs, tout en les laissant libre pour le moment. Je gardais mon élastique noir autour de mon poignet, comme toujours. Tout en m’allongeant sur le lit sans la moindre délicatesse, sur le ventre. Tout en me penchant vers la commande pour prendra la chaîne en argent, où la bague de mon fiancé demeurait depuis de nombreuses années maintenant. A chaque fois je la cachais des autres, mais quand je me retrouvais seule je la mettais autour de mon cou. Comme j’étais en train de le faire maintenant. Un rituel. Un geste sacré pour moi. Caressant du bout de mes doigts l’alliance, avant d’y déposer un faible baiser. Mon livre se trouvait sous mon coussin et j’étais prête à reprendre la lecture là, où je m’étais arrêtée. Fronçant un peu les sourcils, retenant un soupire qui voulait sortir de ma bouche. Laissant mon livre entrouvert sur le lit, tout en me dirigeant vers la porte, tournant la clé pour l'ouvrir, sans grand enthousiasme je dois dire.
Qu’est-ce que tu faisais là, devant ma porte aussi tôt le matin ? Je ne savais pas le but de ta visite. Je savais que j’allais devoir te laisser entrer, même si j’aurai voulu rester seule et que tu ne viennes pas dans mon intimité, aussi tôt le matin. Jamais, même. –« Qu’est-ce que tu veux ? Pourquoi es-tu là ? »-. Légèrement méfiante, mais tu dois sans doute comprendre au son de ma voix, que je ne te t’accueille pas à bras ouvert. Je ne suis pas une femme qui fait entrer des hommes dans son intimité, dans sa vie comme si c’était une chose normale, même si c’était courant à notre époque. Je n’avais jamais été comme ça et je ne le serai jamais, aussi libre que certaine femme quand ça concerne ce genre de « chose ». Dans ma tête je m’étais toujours dite que ça demeurerai ainsi, jusqu’à mon dernier souffle. Pourtant, je savais que je n’allais pas pouvoir respecter ce que je faisais depuis de nombreuses années, ça allait être difficile aussi bien pour toi que pour moi. J’en étais bien consciente. Tout en refermant la porte à clé, une fois que tu es entré, je retourne m’asseoir sur mon lit, je reprends mon livre et je suis sur le point de lire un tout nouveau chapitre, qui promet d’être fort intéressant. Le simple fait de te voir debout me dérange. –« Au lieu de rester planté là, assit toi mais ne reste pas debout ... d'accord. »-. Soupirant légèrement, je ne suis pas vraiment une personne sociable et qui m’est à l’aise les autres. Rien que de savoir que j'allais devoir parler de mariage, l'organisation, la robe tout ça. Ce genre de chose ce n'était plus pour moi, mais je savais que j'allais devoir prendre sur moi. Pour nous deux. Pour que nous puissions reprendre en charge l'institut. Tout en te fixant, sans vraiment être concentré sur toi, parce que je pensais sans doute à des choses inutiles et futiles.
electric bird.
Dernière édition par Lydia Branwell le Dim 27 Mar - 0:57, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Une visite inattendue de si bon matin | Alec
Une visite inattendue de si bon matin
Lydia & Alec
Tout se passait beaucoup trop vite depuis l'arrivée de Clary. Elle sortait dont ne sait où et elle m'était tout sans dessus-dessous. Elle chamboulait tout. D'abord, sa relation avec Jase, qui était franchement tendu depuis qu'elle avait débarqué. Ensuite, ses parents, qui se font, limite refuser au fond d'un tiroir parce qu'Alec et les deux autres avaient fait trop de missions non autorisée pour ses beaux yeux. Ils avaient, certes, retrouvé la coupe, mais à quel prix ? Son meilleur ami, le Terrestre un peu pleurnichard sur les bords, était devenu un vampire, ses parents se faisaient retirer l'Institut, et lui devaient se marier pour arranger un peu tout le bordel. Il n'était pas vraiment sûr qu'il ait une justice là-dedans, mais il avait fait son propre choix.
En effet, Lydia n'était arrivée que le matin même, pourtant, en ayant quelques sujets de conversations avec elle, il sut qu'ils se ressemblaient beaucoup. Elle avait souffert, de la perte de son mari et ses parents avaient également eu la brillante idée de la mariée de force, bien qu'elle n'en ait fait qu'à sa tête. les Branwell et les Lightwood se soutenaient depuis des années, alors il avait pensé que ce serait la meilleure solution pour tout le monde. Ensemble, ils pourraient redonner de l'estime à leur famille, mais en plus ils pourraient garder le contrôle de l'Institut. Pour le moment, c'étaient les deux seules choses qui comptaient le plus pour Alec, peu importe s'il se privait d'une véritable vie. Il avait passé tout son temps, à espérer un jour un miracle impossible venant de Jace et maintenant que Magnus était entré dans sa vie et semblait éclipser tout le reste, il devait également faire une croix dessus, mais c'était son rôle. Son bonheur ou sa vie n'était qu'une toute petite partie dans ce grand jeu de patience.
Bref, après avoir fait sa demande que Lydia avait acceptée, il s'était éclipsé et avait trouvé Jace dans la cuisine. Bien entendu, il n'avait pas pu se retenir et avait tout dit à son Parabatai, en lui ordonnant de ne rien dire aux autres. C'était son rôle ainsi qu'à celui de Lydia, de l'annoncer à tout le monde, en particulier aux parents du jeune homme en premier, vu qu'ils étaient déjà à l'Institut. Mais également à l'Enclave afin de commencer tout dans les règles des Shadowhunter. Bien qu'il ne fût pas pressé d'avoir un mariage d'arrangement, il fallait le faire. Incapable de dormir plus longtemps, il s'était levé et c'était directement dirigé vers la chambre de sa ... Fiancée, maintenant. Il avait eu une once d'hésitation avant de toquer à la porte, échappant un soupire en attendant qu'elle lui ouvre. Visiblement, elle n'était pas du matin, puisqu'elle l'agressa presque en voyant le jeune Lightwood devant sa porte. Mais il pouvait le comprendre, il était vraiment tôt et pas mal de monde dormait encore.
-Je ne voulais pas te déranger aussi tôt, mais je pense qu'on a besoin de parler.
Finalement, elle se poussa du chemin pour le laisser entrer dans son espace privé. Il était rentré, juste assez pour qu'elle puisse fermer la porte derrière lui. Aussitôt, elle retourna sur son lit, livre en main, ce qui n'engage pas spécialement la conversation. Il était resté là debout, en attendant qu'elle digne lui accorder un brin d'importance, puisque les monologues ce n'était pas son truc. Alors qu'une nouvelle fois elle parle d'une voix cinglante, il tourna son regard vers le canapé dans un coin de la pièce, et s'y assoit, frottant ses mains contre son pantalon, avant de finalement ce lancer.
-Écoute, je sais que je ne pourrais jamais remplaçait John, et j'en ait pas l'intention d'ailleurs. Mais il va falloir que l'on fasse chacun des efforts si l'on veut que ça marche un minimum. Je ne sais pas pour toi, mais je n'ai pas envie que l'on passe notre vie dans une relation froide sans grande conversation. Ce n'est pas un mariage d'amour, certes, mais on pourrait essayer d'avoir au moins une relation de confiance, non ?
En effet, Lydia n'était arrivée que le matin même, pourtant, en ayant quelques sujets de conversations avec elle, il sut qu'ils se ressemblaient beaucoup. Elle avait souffert, de la perte de son mari et ses parents avaient également eu la brillante idée de la mariée de force, bien qu'elle n'en ait fait qu'à sa tête. les Branwell et les Lightwood se soutenaient depuis des années, alors il avait pensé que ce serait la meilleure solution pour tout le monde. Ensemble, ils pourraient redonner de l'estime à leur famille, mais en plus ils pourraient garder le contrôle de l'Institut. Pour le moment, c'étaient les deux seules choses qui comptaient le plus pour Alec, peu importe s'il se privait d'une véritable vie. Il avait passé tout son temps, à espérer un jour un miracle impossible venant de Jace et maintenant que Magnus était entré dans sa vie et semblait éclipser tout le reste, il devait également faire une croix dessus, mais c'était son rôle. Son bonheur ou sa vie n'était qu'une toute petite partie dans ce grand jeu de patience.
Bref, après avoir fait sa demande que Lydia avait acceptée, il s'était éclipsé et avait trouvé Jace dans la cuisine. Bien entendu, il n'avait pas pu se retenir et avait tout dit à son Parabatai, en lui ordonnant de ne rien dire aux autres. C'était son rôle ainsi qu'à celui de Lydia, de l'annoncer à tout le monde, en particulier aux parents du jeune homme en premier, vu qu'ils étaient déjà à l'Institut. Mais également à l'Enclave afin de commencer tout dans les règles des Shadowhunter. Bien qu'il ne fût pas pressé d'avoir un mariage d'arrangement, il fallait le faire. Incapable de dormir plus longtemps, il s'était levé et c'était directement dirigé vers la chambre de sa ... Fiancée, maintenant. Il avait eu une once d'hésitation avant de toquer à la porte, échappant un soupire en attendant qu'elle lui ouvre. Visiblement, elle n'était pas du matin, puisqu'elle l'agressa presque en voyant le jeune Lightwood devant sa porte. Mais il pouvait le comprendre, il était vraiment tôt et pas mal de monde dormait encore.
-Je ne voulais pas te déranger aussi tôt, mais je pense qu'on a besoin de parler.
Finalement, elle se poussa du chemin pour le laisser entrer dans son espace privé. Il était rentré, juste assez pour qu'elle puisse fermer la porte derrière lui. Aussitôt, elle retourna sur son lit, livre en main, ce qui n'engage pas spécialement la conversation. Il était resté là debout, en attendant qu'elle digne lui accorder un brin d'importance, puisque les monologues ce n'était pas son truc. Alors qu'une nouvelle fois elle parle d'une voix cinglante, il tourna son regard vers le canapé dans un coin de la pièce, et s'y assoit, frottant ses mains contre son pantalon, avant de finalement ce lancer.
-Écoute, je sais que je ne pourrais jamais remplaçait John, et j'en ait pas l'intention d'ailleurs. Mais il va falloir que l'on fasse chacun des efforts si l'on veut que ça marche un minimum. Je ne sais pas pour toi, mais je n'ai pas envie que l'on passe notre vie dans une relation froide sans grande conversation. Ce n'est pas un mariage d'amour, certes, mais on pourrait essayer d'avoir au moins une relation de confiance, non ?
© Grey WIND.
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Re: Une visite inattendue de si bon matin | Alec
Une visite inattendue de si bon matin
Lydia & Alec
Tu ne voulais pas me déranger ? Peut-être que tu me disais la vérité, que tu ne pensais pas que ta venue ici, pourrait me déranger et tu avais sans doute pensé, que ça ne me poserai aucune problème. C’était faux, je n’avais pas vraiment voulu que tu viennes me voir, tu étais toujours un parfait étranger pour moi. Même si tu étais un Lightwood, je ne te connaissais pas et même si nous n’étions pas si différents, ça ne voulait pas pour autant dire que j’étais capable de t’ouvrir mes bras, en quelque sorte. Ni de me montrer sympathique ou sociable. Finalement, je ne savais pas si j’étais contre ou pour que tu viennes frapper à ma porte. Ca n’avait rien à voir avec le fait qu’il soitt tôt, c’est juste que je n’étais pas une personne accueillante et qui appréciait d’avoir quelqu’un dans sa chambre. A parler tout simplement aux gens, à être dans ce genre d’intimité. J’avais toujours été seule et je n’étais plus habituée, à voir quelqu’un et surtout pas dans ma chambre. En plus, ce n’était pas évident pour moi, je n’avais pas ma famille ici, je n’étais pas chez moi, toi tu étais à ta place plus que je ne l’étais. C’était tout à fait normal, mais je ne pouvais pas prendre les choses aussi bien que toi, tu semblais les prendre. Nous avions besoin de parler et je savais exactement de quoi, tu avais envie que nous parlions. Je retenais un soupire qui était sur le point de sortir de ma bouche et je te regardais dans le blanc des yeux, sans pour autant savoir ce que je pouvais te dire. Secouant légèrement les épaules en guise de réponse pour le moment, après quelques minutes, je sentais que je pouvais être capable de te parler, en essayant de ne pas me montrer agressive. –« Je sais que nous devons parler … »-. Tout en refermant la porte derrière moi, je ne voulais pas que quelqu’un se pointe dans ma chambre à l’improviste. Quand j’étais à Lisbonne ma famille était du genre à rentrer sans frapper et je ne pouvais pas les chasser de ma chambre, parce que je ne pouvais pas le faire. Tout en évitant le moindre contact physique avec toi, même involontaire je n’étais pas du genre à me montrer envahissante. J’étais plutôt du genre à mettre une distance plus que raisonnable entre les gens et moi-même. Je ne supportais pas vraiment le contact physique, ce n’était pas une sensation dès plus agréable pour moi, même un simple effleurement pouvait me déplaire.
Tout en retournant m’asseoir et je prends à nouveau mon livre dans mes mains, tout en donnant un peu de mon attention vers toi, sans pour autant qu’elle ne soit complète. Mon cœur souffre et je me sens coupable envers John, tout en me disant que je ne devrais pas avoir le sentiment de trahir ou de bafouer notre amour, notre union. Je passe ma main derrière ma nuque pour essuyer d’atténuer la raideur qui semble me traverser. Je ne peux pas m’empêcher de me montrer agressive, parce que les sentiments que je ressens sont douloureux. Tout en refermant le livre, car je n’ai plus du tout l’envie ni le cœur à la lecture. Puis, tu attires à nouveau mon attention quand tu me demandes de t'écouter. Je souhaite te répondre, sortir une réplique cinglante, car je ne supporte pas qu’on me sermonne ou qu’on me parle comme ça. Parce que je dois me retenir, je ne veux pas aggraver la situation, ni la rendre plus embarrassante. Laissant un faible sourire se dessiner sur le coin de mes lèvres, encore heureux que tu saches que tu ne pourras jamais remplacer John. Tu sais très bien que je comprenais ce que tu voulais me dire, que nous avions le même objectif, mais que je ne pouvais pas non plus te promettre que tout aller se passer pour le mieux. Je ne faisais pas ce genre de promesse, parce qu’on trouvait toujours un moyen de les briser, d’une manière ou d’une autre.
-« Tu ne pourras jamais le remplacer, ni toi ni personne de toute façon. »-. Mes paroles soient un peu moins sanglantes, un peu plus sages et moins agressives. –« Il n’est même pas question d’amour entre toi et moi et il n’en sera jamais question. On se ressemble trop pour ça et je ne souhaite pas vraiment t’aimer Alec. Tu es un homme bien, avec des valeurs, beaucoup d’honneur et confiant, sache le. Alors ne parlons même plus d’amour, s’il te plaît. »-. Rien que de devoir penser que nous serions obligés d’avoir des enfants un jour, ne me rassure pas plus que ça. Pour le moment, je préfère me chasser ça de la tête, pour ne pas que des images ne commencent à envahir mon esprit, qui est bien assez perturbé pour le moment. Une relation de confiance ? Nous allions devoir en établir une, même si nous allions devoir travailler dessus, mais dans le fond je savais que je pouvais avoir confiance en toi. –« On ne peut pas qu'essayer … on doit vraiment avoir une relation de confiance entre toi et moi … je vais en avoir de besoin si nous comptons nous marier et diriger l’institut ensemble. »-. Mon regard ose rencontrer le tient, je ne cherche pas à dévier le regard et je t’observe attentivement. –« Je vais vraiment avoir besoin de toi … enfin je veux dire … je m’étais jurée de ne jamais accepter un mariage arrangé … de ne plus prendre un autre homme comme mari … comme quoi les promesses sont souvent faites pour être brisée, surtout si nous y sommes trop attachée. »-. C’était comme si je trahissais John et c’était ce qui était le plus douloureux et éprouvant pour moi. Je ne voulais pas non plus te le dire, ni te le partager, par pour le moment en tout cas. Je garde tellement tout pour moi, que je ne peux pas vraiment me livrer à toi aussi facilement, que le font certaine personne. Ce n’est pas vraiment dans mes capacités. Tout en me levant du lit et je m’avance vers toi, tout en affichant un faible sourire, sans pour autant être capable de montrer de réelles émotions dans mon regard. Une fois que je me trouve devant toi, je tends ma main vers toi, en attendant que tu l’as serre. –« Essayons toi et moi de nous faire confiance et de diriger l’institut comme il se doit. Je ferai tout ce que je peux pour toi, pour nous et pour l’institut. Je ne chercherai pas à te fuir, mais il ne sera sans doute jamais question, de ce "genre" d’amour, mais ça sera un tout autre lien entre nous, d’accord ? Ne cherche pas à remplacer John pour ton bien et pour le mien aussi, compris ? »-. Laissant un léger sourire se dessiner sur mes lèvres, tout en inspirant un bon coup. –« Si tu es d’accord, serrons-nous la main. »-. Le bleu de mon regard se noua dans le tien, dont la couleur n’est pas tellement différente, presque semblable à la couleur de mes yeux. Tout ce que je sais, c’est que je ferai de mon mieux pour que tout se passe pour le mieux.
Tout en retournant m’asseoir et je prends à nouveau mon livre dans mes mains, tout en donnant un peu de mon attention vers toi, sans pour autant qu’elle ne soit complète. Mon cœur souffre et je me sens coupable envers John, tout en me disant que je ne devrais pas avoir le sentiment de trahir ou de bafouer notre amour, notre union. Je passe ma main derrière ma nuque pour essuyer d’atténuer la raideur qui semble me traverser. Je ne peux pas m’empêcher de me montrer agressive, parce que les sentiments que je ressens sont douloureux. Tout en refermant le livre, car je n’ai plus du tout l’envie ni le cœur à la lecture. Puis, tu attires à nouveau mon attention quand tu me demandes de t'écouter. Je souhaite te répondre, sortir une réplique cinglante, car je ne supporte pas qu’on me sermonne ou qu’on me parle comme ça. Parce que je dois me retenir, je ne veux pas aggraver la situation, ni la rendre plus embarrassante. Laissant un faible sourire se dessiner sur le coin de mes lèvres, encore heureux que tu saches que tu ne pourras jamais remplacer John. Tu sais très bien que je comprenais ce que tu voulais me dire, que nous avions le même objectif, mais que je ne pouvais pas non plus te promettre que tout aller se passer pour le mieux. Je ne faisais pas ce genre de promesse, parce qu’on trouvait toujours un moyen de les briser, d’une manière ou d’une autre.
-« Tu ne pourras jamais le remplacer, ni toi ni personne de toute façon. »-. Mes paroles soient un peu moins sanglantes, un peu plus sages et moins agressives. –« Il n’est même pas question d’amour entre toi et moi et il n’en sera jamais question. On se ressemble trop pour ça et je ne souhaite pas vraiment t’aimer Alec. Tu es un homme bien, avec des valeurs, beaucoup d’honneur et confiant, sache le. Alors ne parlons même plus d’amour, s’il te plaît. »-. Rien que de devoir penser que nous serions obligés d’avoir des enfants un jour, ne me rassure pas plus que ça. Pour le moment, je préfère me chasser ça de la tête, pour ne pas que des images ne commencent à envahir mon esprit, qui est bien assez perturbé pour le moment. Une relation de confiance ? Nous allions devoir en établir une, même si nous allions devoir travailler dessus, mais dans le fond je savais que je pouvais avoir confiance en toi. –« On ne peut pas qu'essayer … on doit vraiment avoir une relation de confiance entre toi et moi … je vais en avoir de besoin si nous comptons nous marier et diriger l’institut ensemble. »-. Mon regard ose rencontrer le tient, je ne cherche pas à dévier le regard et je t’observe attentivement. –« Je vais vraiment avoir besoin de toi … enfin je veux dire … je m’étais jurée de ne jamais accepter un mariage arrangé … de ne plus prendre un autre homme comme mari … comme quoi les promesses sont souvent faites pour être brisée, surtout si nous y sommes trop attachée. »-. C’était comme si je trahissais John et c’était ce qui était le plus douloureux et éprouvant pour moi. Je ne voulais pas non plus te le dire, ni te le partager, par pour le moment en tout cas. Je garde tellement tout pour moi, que je ne peux pas vraiment me livrer à toi aussi facilement, que le font certaine personne. Ce n’est pas vraiment dans mes capacités. Tout en me levant du lit et je m’avance vers toi, tout en affichant un faible sourire, sans pour autant être capable de montrer de réelles émotions dans mon regard. Une fois que je me trouve devant toi, je tends ma main vers toi, en attendant que tu l’as serre. –« Essayons toi et moi de nous faire confiance et de diriger l’institut comme il se doit. Je ferai tout ce que je peux pour toi, pour nous et pour l’institut. Je ne chercherai pas à te fuir, mais il ne sera sans doute jamais question, de ce "genre" d’amour, mais ça sera un tout autre lien entre nous, d’accord ? Ne cherche pas à remplacer John pour ton bien et pour le mien aussi, compris ? »-. Laissant un léger sourire se dessiner sur mes lèvres, tout en inspirant un bon coup. –« Si tu es d’accord, serrons-nous la main. »-. Le bleu de mon regard se noua dans le tien, dont la couleur n’est pas tellement différente, presque semblable à la couleur de mes yeux. Tout ce que je sais, c’est que je ferai de mon mieux pour que tout se passe pour le mieux.
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Dernière édition par Lydia Branwell le Dim 27 Mar - 0:58, édité 1 fois
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Re: Une visite inattendue de si bon matin | Alec
Une visite inattendue de si bon matin
Lydia & Alec
La chose qui était sûr, c'est qu'elle était plus réceptive hier. Mais Alec pouvait facilement comprendre. Peut-être que, sur le coup, elle ne ce n'était pas spécialement rendue compte de tout ce qui s'était passé et que, maintenant, elle réalisait qu'elle aller se marier une seconde fois. Peut-être avait elle l'impression de trahir John. Ce n'était pas son intention, mais peut-être devrait-il tout annuler ? Dans le fond, il y avait pensé aussi, durant cette nuit chez Magnus, mais il ne pouvait pas se permettre une telle chose et Lydia non plus visiblement, sinon elle serait venue le trouver. Cela dit, il avait l'impression que Lydia comprenait tout le contraire de ce qu'il disait. Il n'avait jamais parlé d'amour, précisant en contraire que leur relation n'en serait jamais une et il avait encore moins dit qu'il voulait remplacer John.
Il haussa les sourcils en la fixant, un brin suspicieux, avait-il bien parlé français ? Il ne fit cependant aucun commentaire sur tout cela, parce que honnêtement, aujourd'hui il n'avait pas la force de se prendre la tête. Ils avaient beaucoup de choses à faire, dont aller l'annoncer à ses parents, et donc reprendre le commandement de l'Institut, pour ensuite en informer l'Enclave. C'est à partir de ce moment-là que les choses se mettront en route. Finalement, le regard d'Alec croisa celui perdu de la jeune femme et Alec prit son air le plus sérieux possible. Ils étaient deux dans cette galère et il ne comptait pas laisser tomber la jeune femme.
- Pour ma part, je te fais entièrement confiance Lydia et je te promets de ne pas te laisser tomber. On va gérer cela ensemble. Je comprends que tu puisses souffrir de cette situation... Plus que tu ne le crois... Mais il faut que tu sois sûr de ton choix. Veux-tu vraiment aller jusqu'au bout et m'épouser ? Si tu changes d'avis, je trouverais une autre solution, je ne veux pas que tu te sentes obligé de quoi que ce soit.
L'espace d'un instant le regard d'Alec dévie pour fixer le tapis sur le sol quand elle parle de promesse. L'aîné des Lightwood s'en était fait une à lui-même aussi, et il l'avait également brisé. Comme à peu près toutes les règles qu'il s'était fixées dès l'arrivée de Clary en vérité. Il releva de nouveau son regard vers Lydia, un vague sourire compatissant aux lèvres.
-Je comprends ce que tu veux dire.
Finalement, il se leva en même temps qu'elle, baissant la tête pour fixer ses yeux, puisqu'elle était plus petite que lui. Il répondit à son sourire par un autre, tout aussi plat que le sien. Ils ne sautaient pas au plafond de cette alliance, mais chacun se disait sans doute qu'ils auraient pu tomber sur pire. Dans le fond, ils se ressemblaient beaucoup. Il jeta un bref regard à sa main tendue et finit par la serrer.
-On s'en sortira, Lydia. Et tu pourras toujours compter sur moi, pour quoi que ce soit. Sache que peu importe les traditions, comme tu l'as si bien dit, il n'y aura aucun lien amoureux entre nous et aucune obligation. Je n'ai jamais cherché à remplacer ton mari et je ne le ferais jamais, ce n'est pas mon rôle.
Ils auraient le rôle de mari et femme, certes, mais dans la tête d'Alec et le cœur de Lydia, John resterait toujours le seul et unique amour de la jeune femme. Il présenterait, la jeune Branwell comme sa femme bien sûr, mais pour les deux, ce ne serait qu'un titre.Il n'y avait plus qu'à espérer que tout fonctionnerait entre eux et que dans le meilleur des cas, ils deviendraient amis. Quoi qu'il en soit, si Alec tiendrait parole sur ses vœux, il n'était pas question qu'il couche avec elle juste pour avoir une descendance. Tout reposera sur Izzy et Max pour avoir des héritiers Lightwood.
-Tu te sens prête à annoncer la nouvelle ?
Il haussa les sourcils en la fixant, un brin suspicieux, avait-il bien parlé français ? Il ne fit cependant aucun commentaire sur tout cela, parce que honnêtement, aujourd'hui il n'avait pas la force de se prendre la tête. Ils avaient beaucoup de choses à faire, dont aller l'annoncer à ses parents, et donc reprendre le commandement de l'Institut, pour ensuite en informer l'Enclave. C'est à partir de ce moment-là que les choses se mettront en route. Finalement, le regard d'Alec croisa celui perdu de la jeune femme et Alec prit son air le plus sérieux possible. Ils étaient deux dans cette galère et il ne comptait pas laisser tomber la jeune femme.
- Pour ma part, je te fais entièrement confiance Lydia et je te promets de ne pas te laisser tomber. On va gérer cela ensemble. Je comprends que tu puisses souffrir de cette situation... Plus que tu ne le crois... Mais il faut que tu sois sûr de ton choix. Veux-tu vraiment aller jusqu'au bout et m'épouser ? Si tu changes d'avis, je trouverais une autre solution, je ne veux pas que tu te sentes obligé de quoi que ce soit.
L'espace d'un instant le regard d'Alec dévie pour fixer le tapis sur le sol quand elle parle de promesse. L'aîné des Lightwood s'en était fait une à lui-même aussi, et il l'avait également brisé. Comme à peu près toutes les règles qu'il s'était fixées dès l'arrivée de Clary en vérité. Il releva de nouveau son regard vers Lydia, un vague sourire compatissant aux lèvres.
-Je comprends ce que tu veux dire.
Finalement, il se leva en même temps qu'elle, baissant la tête pour fixer ses yeux, puisqu'elle était plus petite que lui. Il répondit à son sourire par un autre, tout aussi plat que le sien. Ils ne sautaient pas au plafond de cette alliance, mais chacun se disait sans doute qu'ils auraient pu tomber sur pire. Dans le fond, ils se ressemblaient beaucoup. Il jeta un bref regard à sa main tendue et finit par la serrer.
-On s'en sortira, Lydia. Et tu pourras toujours compter sur moi, pour quoi que ce soit. Sache que peu importe les traditions, comme tu l'as si bien dit, il n'y aura aucun lien amoureux entre nous et aucune obligation. Je n'ai jamais cherché à remplacer ton mari et je ne le ferais jamais, ce n'est pas mon rôle.
Ils auraient le rôle de mari et femme, certes, mais dans la tête d'Alec et le cœur de Lydia, John resterait toujours le seul et unique amour de la jeune femme. Il présenterait, la jeune Branwell comme sa femme bien sûr, mais pour les deux, ce ne serait qu'un titre.Il n'y avait plus qu'à espérer que tout fonctionnerait entre eux et que dans le meilleur des cas, ils deviendraient amis. Quoi qu'il en soit, si Alec tiendrait parole sur ses vœux, il n'était pas question qu'il couche avec elle juste pour avoir une descendance. Tout reposera sur Izzy et Max pour avoir des héritiers Lightwood.
-Tu te sens prête à annoncer la nouvelle ?
© Grey WIND.
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Re: Une visite inattendue de si bon matin | Alec
Une visite inattendue de si bon matin
Lydia & Alec
Ne dit-on pas que la confiance résout tous les maux? Il faut dire que je ne suis pas vraiment objective, quand ça concerne ce genre de lien, entre les êtres vivants, voir plus ou moins, autour de ce monde obscur, bien loin d'être lumineux, pour information aussi brève soit-elle, mais tout de même utile à connaître. Ce n'était pas un problème en soi pour moi, puisque je ne me verrai pas ailleurs qu'ici même, de toute façon. Ma place était ici et nulle part ailleurs. Mon choix n'avait pas vraiment d'importance, ni une valeur sûre, je faisais seulement ce que je devais faire, en me référent à ma tête et non pas avec mon coeur. J'avais fais la grave erreur d'écouter mon coeur, pour me laisser à nouveau à voir par cet instrument qui peut se montra dévastateur.D'avoir accorder ma confiance trop hâtivement. A cause de moi, John était mort, à cause de mon coeur qui avait été ma faiblesse à ce moment là et ma sensibilité, mon humilité s'étaient retournées contre moi. Toutes les questions que tu me posais, l'une après l'autre, tu ne me laissais même pas le temps de trouver une réponse à chacune d'entre elle, car tu m'en sortais une autre à chaque fois. Tu ne me laissais pas le temps de réfléchir, le pire c'est que je n'étais même pas sûre, de ce que je devais te répondre, je dois dire. - « Je ne souffre pas, ce n'est pas du tout dans ma nature de laisser la souffrance, prendre le contrôle. »-. Même si, dans le fond je ne voulais pas t'épouser, ça n'avait pas vraiment d'importance. Nous n'avions pas le choix, car nous devions nous marier, pour nous arranger toi et moi et pour pouvoir diriger l'institut, comme nous l'entendions. Cet arrangement était nécessaire, je pourrais tout à fait me sacrifier moi et mes idéaux. Pour que nous puissions prendre en main l'institut dans toute sa complexité. - « C'est la meilleur solution , nous le savons tous les deux, mais si je pouvais trouver une autre solution ... je t'en ferai part ... mais là c'est la seule solution pour le moment. » -. Mon regard fixa un endroit quelconque, avant de soupirer tout doucement. Avant que je ne rencontre le tien par hasard. Sans vraiment le vouloir, tu me donnes un sourire compatissant, un bref sourire se dessine au coin de mes lèvres. Peut être que tu comprenais, mais je ne voulais pas la moindre pitié venant de toi, ni de personne d'autre. Avant de poursuivre calmement, bougeant un peu afin d'être mieux assise, pour ne plus me sentir engourdit. On va dire qu'avoir les pieds dans le vide, ce n'était la meilleur chose à faire. - « Et toi Alexander ? Penses tu que tu supporteras tout ça ? Je ne pense pas que tu puisses tout encaisser ... alors je serai là pour t'aider autant que toi. Au moins, si nous arrivons à nous entendre, ça sera déjà pas si mal ... » -. Tu semble me dire, ou alors tu essayes de me convaincre en me disant que tu me comprends. Peut être que c'est vraiment le cas. J'allais juste devoir apprendre, à avoir à nouveau confiance en quelqu'un de "cette" manière. Ca n'allait pas être une tâche des plus évidente, je dois dire. Tout en me dirigeant vers toi, et tu te lèves à ton tour. Ton sourire est semblable au mien, il n'y a pas vraiment le moindre doute là-dessus. Nous nous ressemblons vraiment, rien quand voyant ton regard, ta façon de te comporter, de te tenir. Enfin, je me disais que je ne devais pas être loin de te ressemble sur le moment là.
S'en sortir? Nous devions y croire ensemble mais aussi séparément. L'espoir allait peut être nous être utile. Tout en te serrant la main, pour sceller notre accord en quelque sorte. Je sentis pendant cette poignet de main, ta sincérité avant tout, et c'était quand même important de l'avoir ressenti. - « Je t'en remercie alors, nous ferons en sorte que tout se passe pour le mieux. » - . Tout en lâchant ta main, mettant mes mains dans mes poches, avant d'appuyer le bas de mon dos contre la chaise où tu te trouvais assis. Te lançant un regard presque amusé, dans un sens cette situation, pouvait être un brin amusante. Me pointant moi-même du doigt, avant de prendre la parole. - « Est ce que j'ai une tête à annoncer la nouvelle ? » -. Je te fixe un peu, avant de poursuivre. - « Et toi, tu es prêt à l'annoncer à tout le monde? Surtout à ta famille? A ta soeur ? » -. Me montrant sérieuse et soucieuse aussi, car ça ne doit pas non plus être une annonce facile à dire à sa famille. J'essayais de sympathiser et de me montrer à l'écoute et attentive. Je ne savais pas si ça marchait où si cela avait l'effet inverse. Après tout, je te connaissais à peine, et si nous voulions avoir confiance l'un envers l'autre, nous devons apprendre à nous connaître aussi. Ce n'est pas vraiment évident pour moi. - « Même si je ne me montre pas super enthousiaste par rapport à notre alliance en privée. Quand nous serons en public, je saurai me montrer plus confiante, alors ne t'inquiète pas. » -. Sincère. Mon regard se porte autour de cette chambre qui reste encore impersonnel, pour le moment. Je ne savais pas si tu comptais rester plus longtemps, mais je décide de retourner m'asseoir sur mon lit. Appuyant mon dos contre la tête du lit en bois marbré. Je pose mes pieds nus sur l'un des coussins, calant le bas de mon dos contre le traversin sombre. - « Comment tu comptes l'annoncer? Est ce que tu veux que je sois là? Quand tu l'annonceras ou pas? Tu en penses quoi? Le mieux ça serai pas d'être ensemble pour le dire? » - . Le sujet était toujours délicat à aborder, mais peut être que je finirai par m'y habituer. Tout ce que je savais c'est que je ne pourrais pas me résoudre, d'avoir des enfants avec toi,ce n'est tout simplement pas possible, ni même envisageable pour moi. Je suis complètement plongée dans mes pensées. Tout ce que je pouvais te promettre c'est que je serai là, si tu as besoin de moi et que je ferai en sorte d'être agréable à côtoyer. Qui sait ? Nous pourrions peut être devenir de bons amis, tous les deux. Ca ne me semblait pas vraiment impossible.
S'en sortir? Nous devions y croire ensemble mais aussi séparément. L'espoir allait peut être nous être utile. Tout en te serrant la main, pour sceller notre accord en quelque sorte. Je sentis pendant cette poignet de main, ta sincérité avant tout, et c'était quand même important de l'avoir ressenti. - « Je t'en remercie alors, nous ferons en sorte que tout se passe pour le mieux. » - . Tout en lâchant ta main, mettant mes mains dans mes poches, avant d'appuyer le bas de mon dos contre la chaise où tu te trouvais assis. Te lançant un regard presque amusé, dans un sens cette situation, pouvait être un brin amusante. Me pointant moi-même du doigt, avant de prendre la parole. - « Est ce que j'ai une tête à annoncer la nouvelle ? » -. Je te fixe un peu, avant de poursuivre. - « Et toi, tu es prêt à l'annoncer à tout le monde? Surtout à ta famille? A ta soeur ? » -. Me montrant sérieuse et soucieuse aussi, car ça ne doit pas non plus être une annonce facile à dire à sa famille. J'essayais de sympathiser et de me montrer à l'écoute et attentive. Je ne savais pas si ça marchait où si cela avait l'effet inverse. Après tout, je te connaissais à peine, et si nous voulions avoir confiance l'un envers l'autre, nous devons apprendre à nous connaître aussi. Ce n'est pas vraiment évident pour moi. - « Même si je ne me montre pas super enthousiaste par rapport à notre alliance en privée. Quand nous serons en public, je saurai me montrer plus confiante, alors ne t'inquiète pas. » -. Sincère. Mon regard se porte autour de cette chambre qui reste encore impersonnel, pour le moment. Je ne savais pas si tu comptais rester plus longtemps, mais je décide de retourner m'asseoir sur mon lit. Appuyant mon dos contre la tête du lit en bois marbré. Je pose mes pieds nus sur l'un des coussins, calant le bas de mon dos contre le traversin sombre. - « Comment tu comptes l'annoncer? Est ce que tu veux que je sois là? Quand tu l'annonceras ou pas? Tu en penses quoi? Le mieux ça serai pas d'être ensemble pour le dire? » - . Le sujet était toujours délicat à aborder, mais peut être que je finirai par m'y habituer. Tout ce que je savais c'est que je ne pourrais pas me résoudre, d'avoir des enfants avec toi,ce n'est tout simplement pas possible, ni même envisageable pour moi. Je suis complètement plongée dans mes pensées. Tout ce que je pouvais te promettre c'est que je serai là, si tu as besoin de moi et que je ferai en sorte d'être agréable à côtoyer. Qui sait ? Nous pourrions peut être devenir de bons amis, tous les deux. Ca ne me semblait pas vraiment impossible.
electric bird.
Dernière édition par Lydia Branwell le Dim 27 Mar - 0:58, édité 1 fois
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